La construction des salles de classe améliore l’accès à l’éducation et garantit un environnement d’apprentissage sûr et adéquat. Le Togo a longtemps compris la chose de cette façon et ne se cache pas en matière de réalisations.

Les pouvoirs publics ont commencé il y a des années par multiplier les infrastructures scolaires afin d’augmenter la capacité d’accueil des écoles et de réduire la surpopulation dans les salles existantes. Cela réduit les obstacles à la scolarisation, surtout dans les zones éloignées.

Ces salles bien construites et équipées offrent un environnement d’apprentissage plus propice à la concentration, à la participation des élèves et à la qualité de l’enseignement.

Elles permettent aux enseignants de dispenser leur enseignement de manière efficace et aux élèves de mieux assimiler les connaissances ; assurent la sécurité et le confort des élèves en offrant un abri adéquat contre les intempéries, les insectes et d’autres éléments perturbateurs.

Plusieurs salles érigées

Le ministère en charge de l’Éducation a indiqué que, sur la période 2022-2023, ce sont 1 035 salles de classe qui ont été construites grâce à la politique de renforcement des capacités d’accueil des infrastructures scolaires.

Durant les 2 dernières années, ce nombre de classes a été construit dans l’ensemble des 5 régions économiques du pays. Le département gouvernemental fait ressortir des statistiques qui montrent que 844 salles (structurées en bloc de 3 et 4) ont été érigées en 2023.

Une année plus tôt, 191 salles ont été construites. Parmi les régions, celle des Savanes a été la plus dotée avec 402 salles au total sur les 2 années en question.

Le nombre de salles de classe à construire cette année

Les prévisions pour 2024 sont que plus de 500 salles de classe devraient pousser du sol. On parle exactement de 514 salles de classe à construire en tout sur le territoire.

Elles seront composées de 64 blocs de 4 salles et 86 blocs de 3 salles. Tous les travaux devraient coûter plus de 4 milliards de francs CFA, selon les estimations.

La Rédaction